Thursday, July 20, 2006

Le travail aliéné

Je suis relativement contente, j'ai passé une journée sympa. On a bien bossé avec le ptit jeunôt. On a fini le boulot 1h30 en avance ! On a tchappé toute le journée on s'est pas rendus compte qu'on bossait trop vite, c'est fou. Et même que j'ai même pas embouti la caisse du patron. Tant mieux parce qu'il m'a dit que sinon il me collait une trempe, et il a de grandes mains alors mieux vaut éviter. Et demain on recommence, on sera que tous les 2, l'apprenti et moi. On s'entend bien, on bosse bien et il n'y a personne pour nous faire chier.
Je suis bien grossirère me direz-vous. Toutefois quand on connait l'énergumène qui nous sert de collègue, c'est le seul mot qui vient à l'esprit après moult insultes dont je passerai l'énumération. En effet le pauvre homme étant frustré par sa pauvre vie minable de quiquagénaire se sent obligé d'ouvrir sa grande gueule un peu trop souvent dans la journée à mon goût. Manque de pot pour lui, j'ai le sang chaud et je suis allergique aux cons, et qui s'y frotte s'y pique. Le pauvre homme l'a appris à ses dépends ... Après ses quelques propos racistes et sa bonne engueulade injustifiée à un autre jeune ouvrier de l'équipe, je me suis permise de lui rabaisser son caquet, ce qu'il n'a pas du tout apprécié et pour vous l'avouer franchement je m'en contre-tamponne le coquillard ! Ce que je n'avais pas prévu c'est que les représailles seraient rudes et viendraient plus tôt que prévu, à savoir le lendemain de la dite journée, qui soit dit en passant remonte à 2 semaines mais je suis d'une nature plutôt rancunière et revancharde surtout avec le cons de cette trempe. Mais ce que ce con quiquagénaire en question n'avaient pas prévu également c'est que la jeune gamine de 19 ans que je suis, avait la verve vive et que je démarrai au quart de tour et que je ne me laissais pas un pas un quart de pet impressionner, ni marcher sur les baskets par qui que ce soit et sutout pas lui. Le pauvre vieux macho s'est trouvé tout penaud face à une fillette qui en avait plus dans la culotte que lui.
En même temps je le plains ce pauvre homme. Que sa vie doit être misérable pour qu'il s'acharne de la sorte à emmerder les gens, à être pire commère qu'une gardienne d'immeuble portugaise ( Maria la clé ), à se mêler de la vie de tous et à envier et jalouser n'importe qui puis se dépêcher de rabaisser plus bas que terre la personne secrètement jalousée.
Ah lala qu'est-ce que je m'ennuierai s'il ne me faisait pas chier avec ses réfléxions à la con ...

2 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Mais c'est-y pas un miracle? Mademoiselle accepte que nous (pauvre de nous) anonymes puissions écrire des petits mots...Dire qu'elle m'aurait obligé à me Blogger, MOI! lol (Jamais!(leçon n°1 ne jamais dire jamais, OK, j'abdique) Bref, Mawine tu vas regretter mes messages où l'on peut voir comme une opération à coeur ouvert la folie douce qui me hante. Bref,(et non je ne ferai pas bref pour me premier comment, Vive les divagations, les méandres de me spensées etc...)Je me lance dans le vif du sujet...Marine, ARRETE DE T'LA PETER parce que t'as pris la place du chef(comme dirais Didier Super) et arrête de draguer le p'tit apprenti, n'a tu pas honte surtout maintenant que tu es...VIEILLE! (oups, j'ai laché la bombe, qui va j'en ai bien peur se retourner contre moi, pauvre jeunotte de 18ans lol)Bon sinon a demain ma belle et j'vais m'arreter là, pour mon premier commentaire, j'trouve que j'ai fais du bon boulot. A Ciao Bonsoir, à la revoyure, et non tu ne te débarrasseras pas de moi!Biz

8:36 PM  
Blogger mawine said...

Je n'ai que 2 choses à te répondre ma chère Thildou : tout d'abord " n'importeuh quoi " et puis " tu vas foutement charger toi demain soir ! "

9:48 PM  

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