Prat' est gros et sale
Ah que ça m'a fait du bien de retourner quelques jours dans mon petit appart' à Albi, toute seule tranquille. Malgrè la fête de vendredi soir, ce fut plutôt calme, reposant et appaisant de se retrouver enfin seule, pour pouvoir lire dans le silence, sans être dérangée par un " Marine va mettre la table " ou "ne mets pas tes pieds sur la table du salon " lancé sauvagement par ma môman.
Ca a fait bien du bien aussi de revoir des potes et de se mettre une bonne petite salve en règle à Pratgraussals. Ce parc est vraiment pénard l'été, calés au bord du lac, assis à une petite table en bois remplie de bouteilles et autres cannettes, à déconner, discuter et se marrer sans oublier de s'en jeter une petite quand l'air et la gorge se faisaient un peu secs. C'était vaiment chouette, même si le lendemain j'ai passé une demi heure à enlever de la cire de bougie que j'avais un peu partout sur mon futal, parce que et oui là-bas il n'y a a pas de lampadaires et donc passé 21 heure on doit sortir les bougies, au plus grand désarroi de mon jean ...
On a finalement abandonné le parc pour aller se jeter sous nos draps respectifs sur le coup des 4 heures du mat, un brin éméchés mais sereins. Nos pieds connaissant la route tous seuls, par la force des choses, nous ont sagement ramenés chez nous, on ne sait trop comment mais tous en état plus ou moins raisonnable. C'est fou de s'apercevoir que même totalement torché on retrouve son chemin, on est capable de traverser la ville à pied et de rentrer se coucher sagement et passer une bonne fin de nuit. Bon ok, je vous l'accorde, notre chère capitale tarnaise n'est pas non plus super grande à traverser, surtout quand on sait qu'on habite presque tous en centre-ville mais n'empêche que des fois c'est laborieux quand même.
Il m'est arrivé de rentrer après une fête, toujours à Pratgraussals, accompagnée de 2 autres blondes ( 3 blondes dans Albi, c'est fou ! ) et de croiser un troupeau de racailles pas encore couchés malgrè l'heure tardive , et eux de nous demander de manière fort peu polie et très inconvenue si nous n'avions pas par hasard une corde. Toutes 3 nous les dévisageons, quelque peu interloquées, conscientes de notre taux d'alcoolémie et donc peu sures d'avoir bien compris la question qui nous était posée. Une de mes amies tente un timide : " Une corde de guitare ? ", et un faquin du troupeau de lui rétorquer : " Non pour te pendre connasse ! ". Quelle bande de voyous. Pas le moins affolées du monde, nous avons donc tourné les talons, pressées que nous étions de rentrer nous pieuter.
Une autre amie un autre fois a eu moins de chance que nous. A l'anniversaire de la jeunette Loucile, 2 amies sortent prendre l'air frais albigeois qui, comme tout un chacun le sait, est très vivifiant, surtout en décembre. Un jeune homme est venu leur parler sous je ne sais plus quel prétexte vaseux, du genre : " T'as pas une clope ? ", au début tout poliement. Face au refus de mes 2 amies non fumeuses le ton de leur interlocuteur est soudainement monté, pour devenir agressif voire menaçant. Interloquées et effrayées elles ont galopé pour rejoindre l'appartement où nous étions tous, mais suivies de près par l'autre qui les poursuivait. Il en a rattrappé une des 2 qui a passé un sacré mauvais moment à prendre 2 ou 3 bonnes claques bien appuyées. Elle a fort heureusement réussi à se libérer de son agresseur pour nous retrouver complètement effrayée. 2 gros bras présents avec nous se sont précipités dehors pour aller démonter sa mère sa face à ce gros con qui a tapé la pov Roja ! Manque de pot pour nous, mais heureusement pour lui, ce dernier avait déguerpi en vitesse sans ça il aurait subi les attaques de notre treiziste préféré. Depuis ce jour on fait pas mal gaffe quand on se balade la nuit dans Albi, sans pour autant que ça vire à la paranoïa non plus.
Annecdote tout aussi divertissante : un soir après une fête bien arrosée organisée par l'école des mines ( qui porte foutrement bien son nom ) à la MJC, je suis rentrée chez moi à pied en mode automatique, sans trop en avoir conscience. Un pote, parait-il, rentrait dans la même direction que moi et m'a acompagné sur la moitié du chemin. Tout ce que je me rappelle c'est d'avoir eu un mal de chien à gravir les 3 étages pour rejoindre mon appart', d'avoir galéré un bon moment avec la clé et de m'être réveillée à 6h du mat' avec une gueule de bois mémorable et une bassine ma foi bien pleine au pied de mon lit. J'avais heureusement eu la présence d'esprit ( le peu qu'il me restait du moins ) d'avoir mis cette bien aimée bassine toute prête à l'emploi. Une putain de bonne soirée ! Pas très glamour certes, mais qu'est-ce qu'on s'était éclatés ( le bide ) !
Ca a fait bien du bien aussi de revoir des potes et de se mettre une bonne petite salve en règle à Pratgraussals. Ce parc est vraiment pénard l'été, calés au bord du lac, assis à une petite table en bois remplie de bouteilles et autres cannettes, à déconner, discuter et se marrer sans oublier de s'en jeter une petite quand l'air et la gorge se faisaient un peu secs. C'était vaiment chouette, même si le lendemain j'ai passé une demi heure à enlever de la cire de bougie que j'avais un peu partout sur mon futal, parce que et oui là-bas il n'y a a pas de lampadaires et donc passé 21 heure on doit sortir les bougies, au plus grand désarroi de mon jean ...
On a finalement abandonné le parc pour aller se jeter sous nos draps respectifs sur le coup des 4 heures du mat, un brin éméchés mais sereins. Nos pieds connaissant la route tous seuls, par la force des choses, nous ont sagement ramenés chez nous, on ne sait trop comment mais tous en état plus ou moins raisonnable. C'est fou de s'apercevoir que même totalement torché on retrouve son chemin, on est capable de traverser la ville à pied et de rentrer se coucher sagement et passer une bonne fin de nuit. Bon ok, je vous l'accorde, notre chère capitale tarnaise n'est pas non plus super grande à traverser, surtout quand on sait qu'on habite presque tous en centre-ville mais n'empêche que des fois c'est laborieux quand même.
Il m'est arrivé de rentrer après une fête, toujours à Pratgraussals, accompagnée de 2 autres blondes ( 3 blondes dans Albi, c'est fou ! ) et de croiser un troupeau de racailles pas encore couchés malgrè l'heure tardive , et eux de nous demander de manière fort peu polie et très inconvenue si nous n'avions pas par hasard une corde. Toutes 3 nous les dévisageons, quelque peu interloquées, conscientes de notre taux d'alcoolémie et donc peu sures d'avoir bien compris la question qui nous était posée. Une de mes amies tente un timide : " Une corde de guitare ? ", et un faquin du troupeau de lui rétorquer : " Non pour te pendre connasse ! ". Quelle bande de voyous. Pas le moins affolées du monde, nous avons donc tourné les talons, pressées que nous étions de rentrer nous pieuter.
Une autre amie un autre fois a eu moins de chance que nous. A l'anniversaire de la jeunette Loucile, 2 amies sortent prendre l'air frais albigeois qui, comme tout un chacun le sait, est très vivifiant, surtout en décembre. Un jeune homme est venu leur parler sous je ne sais plus quel prétexte vaseux, du genre : " T'as pas une clope ? ", au début tout poliement. Face au refus de mes 2 amies non fumeuses le ton de leur interlocuteur est soudainement monté, pour devenir agressif voire menaçant. Interloquées et effrayées elles ont galopé pour rejoindre l'appartement où nous étions tous, mais suivies de près par l'autre qui les poursuivait. Il en a rattrappé une des 2 qui a passé un sacré mauvais moment à prendre 2 ou 3 bonnes claques bien appuyées. Elle a fort heureusement réussi à se libérer de son agresseur pour nous retrouver complètement effrayée. 2 gros bras présents avec nous se sont précipités dehors pour aller démonter sa mère sa face à ce gros con qui a tapé la pov Roja ! Manque de pot pour nous, mais heureusement pour lui, ce dernier avait déguerpi en vitesse sans ça il aurait subi les attaques de notre treiziste préféré. Depuis ce jour on fait pas mal gaffe quand on se balade la nuit dans Albi, sans pour autant que ça vire à la paranoïa non plus.
Annecdote tout aussi divertissante : un soir après une fête bien arrosée organisée par l'école des mines ( qui porte foutrement bien son nom ) à la MJC, je suis rentrée chez moi à pied en mode automatique, sans trop en avoir conscience. Un pote, parait-il, rentrait dans la même direction que moi et m'a acompagné sur la moitié du chemin. Tout ce que je me rappelle c'est d'avoir eu un mal de chien à gravir les 3 étages pour rejoindre mon appart', d'avoir galéré un bon moment avec la clé et de m'être réveillée à 6h du mat' avec une gueule de bois mémorable et une bassine ma foi bien pleine au pied de mon lit. J'avais heureusement eu la présence d'esprit ( le peu qu'il me restait du moins ) d'avoir mis cette bien aimée bassine toute prête à l'emploi. Une putain de bonne soirée ! Pas très glamour certes, mais qu'est-ce qu'on s'était éclatés ( le bide ) !
0 Comments:
Post a Comment
<< Home