Foi inébranlable
Jeudi soir, 21h, caves de la Notte.
Déjà la petite cave annonce la couleur de la soirée ( et des 2 précédentes ). La contenance de la cave ne permet qu'à une cinquantaine de chanceux d'apprécier le spectacle. Ambiance cosy, intimiste, petit comité, bougies posées sur les amplis. Le fessier posé sur les tapis ou sur les marches de l'escalier et il n'y a plus qu'à surjouir la représentation d'Agora Fidelio. Ca a drôlement rousté !
Certes ce n'était pas très confortable, quoi que je n'ai pas trop à me plaindre par rapport à certains, mais heureusement que j'étais assise sinon je crois bien que je serais excusez l'expression, tombée sur le cul. Première fois que je voyais les 4 gars d'Agora en concert, et certainement pas la dernière, et je ne m'attendais pas à un tel choc, une telle décharge d'émotion. Peut-être l'ambiance intimiste y a joué pour beaucoup ... Un frisson m'a parcouru le corps du début à la fin. Bien que serrés à 50 dans une petite pièce, je ne pouvais m'empêcher de grelotter. L'émotion sans doute. Des montées à n'en plus finir, des redescentes vertigineuses, et toujours la voix de Milka qui nous emporte on ne sait trop où mais loin. A chaque fois que je croyais avoir atteint l'apogée émotionnelle de la soirée, le morceau suivant me retournait encore plus. Le jeu a duré près de 2h, pour notre plus grand plaisir. Une set liste très fournie et des reprises enivrantes, je marque une préférence personnelle pour la reprise de Noir Désir à la sauce Agora qui se mariait fort bien avec l'ambiance de la salle et des autres morceaux. Un tout cohérent et fort en émotion. J'avoue avoir eu plusieurs fois eu la larme à l'oeil au cours de la soirée. En fait j'étais au bord des larmes pendant tout le temps que ça a duré, mais le tout est resté contenu jusqu'à la sortie des caves, c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles je suis partie un peu comme une voleuse ... Leur musique a fait ressortir tout un tas de choses et de sentiments que je croyais avoir enterrés depuis longtemps. Et s'extirper de cet état de mélancolie fut assez difficile. Il m'a bien fallu tout le chemin du retour et une bonne partie de la nuit pour me calmer. Je dois être un poil trop émotive. Heureusement que les chansons étaient entre-coupées de petits moments de délire et de blagues des 4 comparses pour détendre l'atmosphère. Malgrè ces courts moments de " détente ", je n'ai pas réussi à m'arracher les yeux et les oreilles de la non-scène où se trouvaient les Agora Fidelio et j'ai réussi à oublier la foideur des marches de l'escalier qui m'anesthésiait le derrière, la fatigue, la sale semaine, le type de devant qui était trop grand et qui m'empêchait de voir Jouch autrement qu'en me contorsionnant ( qu'est-ce qu'il ne faut pas faire ?! ). J'en ai même oublié de prendre des photos ...
En bref Agora Fidelio a su titiller notre point G auditif, et on en redemande !
Pour une chronique et un aperçu un peu plus constructif, allez voir le report de Cerf sur The Noise Time.
Déjà la petite cave annonce la couleur de la soirée ( et des 2 précédentes ). La contenance de la cave ne permet qu'à une cinquantaine de chanceux d'apprécier le spectacle. Ambiance cosy, intimiste, petit comité, bougies posées sur les amplis. Le fessier posé sur les tapis ou sur les marches de l'escalier et il n'y a plus qu'à surjouir la représentation d'Agora Fidelio. Ca a drôlement rousté !
Certes ce n'était pas très confortable, quoi que je n'ai pas trop à me plaindre par rapport à certains, mais heureusement que j'étais assise sinon je crois bien que je serais excusez l'expression, tombée sur le cul. Première fois que je voyais les 4 gars d'Agora en concert, et certainement pas la dernière, et je ne m'attendais pas à un tel choc, une telle décharge d'émotion. Peut-être l'ambiance intimiste y a joué pour beaucoup ... Un frisson m'a parcouru le corps du début à la fin. Bien que serrés à 50 dans une petite pièce, je ne pouvais m'empêcher de grelotter. L'émotion sans doute. Des montées à n'en plus finir, des redescentes vertigineuses, et toujours la voix de Milka qui nous emporte on ne sait trop où mais loin. A chaque fois que je croyais avoir atteint l'apogée émotionnelle de la soirée, le morceau suivant me retournait encore plus. Le jeu a duré près de 2h, pour notre plus grand plaisir. Une set liste très fournie et des reprises enivrantes, je marque une préférence personnelle pour la reprise de Noir Désir à la sauce Agora qui se mariait fort bien avec l'ambiance de la salle et des autres morceaux. Un tout cohérent et fort en émotion. J'avoue avoir eu plusieurs fois eu la larme à l'oeil au cours de la soirée. En fait j'étais au bord des larmes pendant tout le temps que ça a duré, mais le tout est resté contenu jusqu'à la sortie des caves, c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles je suis partie un peu comme une voleuse ... Leur musique a fait ressortir tout un tas de choses et de sentiments que je croyais avoir enterrés depuis longtemps. Et s'extirper de cet état de mélancolie fut assez difficile. Il m'a bien fallu tout le chemin du retour et une bonne partie de la nuit pour me calmer. Je dois être un poil trop émotive. Heureusement que les chansons étaient entre-coupées de petits moments de délire et de blagues des 4 comparses pour détendre l'atmosphère. Malgrè ces courts moments de " détente ", je n'ai pas réussi à m'arracher les yeux et les oreilles de la non-scène où se trouvaient les Agora Fidelio et j'ai réussi à oublier la foideur des marches de l'escalier qui m'anesthésiait le derrière, la fatigue, la sale semaine, le type de devant qui était trop grand et qui m'empêchait de voir Jouch autrement qu'en me contorsionnant ( qu'est-ce qu'il ne faut pas faire ?! ). J'en ai même oublié de prendre des photos ...
En bref Agora Fidelio a su titiller notre point G auditif, et on en redemande !
Pour une chronique et un aperçu un peu plus constructif, allez voir le report de Cerf sur The Noise Time.
1 Comments:
Tu fais tout comme moi arrête de me copïe.
Sauf que moi, héhé j'étais toutoutoutout devant mercredi hmhaha ^^
Sincerement jostre STRE ranger
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