Aigrie, moi ?

Malgrè le soleil et la relative chaleur qui s'installe sur notre beau pays, l'ambiance générale est plutôt tendue ces derniers temps. Et oui, la grande sociologue que je suis n'a pas pu s'empêcher de noter que les gens sont amers, aigris ( certains diraient "mal baisés" ... c'est pas totalement faux ), nerveux, irrités, fatigués et j'en passe et des meilleurs. J'avoue moi-même être un vrai fardeau pour ceux qui m'entourent en ce moment. Je sors les griffes au moindre mot de travers, quand je me lève j'ai la tête des mauvais jours, bref je suis très désagréable et c'est pas les révisions pour les partiels, et par là aussi la petite chiste que j'ai pris en linguistique, qui vont me remonter le moral. Mais je me soigne. D'ailleurs spéciale dédicace à ma prof de linguistique sur qui je chie cordialement sur le museau. Et puis voilà, passer des journées entières à la BU, le nez dans des bouquins, à se faire engueuler par les bibliothéquaires comme au collège, a le don de m'irriter encore plus. Oui, je sais je râle encore. Et puis là biensûr faut que je choisisse pile l'ordinateur qui a une souris qui foire. C'est rien, c'est un détail certes, mais une accumulation de détail au final ça fait un monticule de merde sur lequel je me vautre joyeusement depuis dimanche dernier. Allez savoir, la concordance des dates est troublante.
Sinon, dans une tonalité plus réjouissante, on a eu la projection des photos du festival de la fac hier soir, ce qui nous a tous replongé illico presto dans le climat et l'ambiance on fait port'nawak., c'est trop la fête, on picole, on dit de la merde etc ... Et fichtre, ça ça fait du bien !